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SN Brussels airlines et son shopping à 99 euros, on n’en veut pas !

mpOC | Posté le 20 novembre 2011

Dites-nous tout ce que vous ferez à la place de prendre l’avion en polluant la planète pour retrouver les mêmes boutiques que dans votre ville !

Nous avons été choqués par la publicité de SN Brussels airlines proposant de prendre l’avion pour aller faire du shopping à l’autre bout de l’Europe. C’est la caricature de tout ce que nous ne voulons pas (moyen de transport le plus polluant par personne transportée, réservé à moins de 10% des habitants de la planète... et tout cela pour aller surconsommer dans des chaînes multinationales qu’on trouve aussi chez nous !).

Plutôt qu’un long discours moralisateur, montrons-leur comment nous profitons de la vie, et sans payer de surcroît ! Nous proposons donc que vous nous disiez ici tout ce que vous ferez à la place de prendre l’avion en polluant la planète pour aller faire les magasins.

La meilleure réaction gagnera un escargot en peluche !

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23 Messages

  • Déjà que je ne vois pas pourquoi je prendrais l’avion puisque les jardins n’en finissent pas de m’émerveiller chaque saison et que chaque jour j’y découvre plein de choses à explorer gratuitement. Alors si en plus c’est pour devoir me farcir des boutiques que j’évite joyeusement chez moi !

  • Sur leur site web, on peut lire des slogans comme " Brussels Airlines prend l’environnement à coeur. Sous la bannière "b.green", nous cherchons des moyens de réduire notre empreinte écologique et encourageons nos employés, clients et fournisseurs à faire de même".

    Facile d’écrire quelques lignes (bien cachées) sur une page web, lorsque on investit des millions d’euro en publicité pour suggérer aux clients d’aller faire les courses à l’autre bout de l’Europe.

    B.green, B.hypocrite ;)

    La page "green" : http://company.brusselsairlines.com/fr_be/corp/citizenship/bgreen.aspx

    Matt

  • SN Brussels airlines et son shopping à 99 euros, on n’en veut pas ! Le 21 novembre 2011 à 14:06 , par Albert Mabille

    Acheter 2 plans d’arbres fruitiers (variétés RGF de Gembloux) qui complèteront le verger + des graines de variétés oubliées à semer dans le jardin au printemps prochain ainsi que des plantes mellifères.
    Albert Mabille, Floreffe

  • Plutôt que de perdre mont temps et mon argent à Zaventem pour faire un aller-retour à Milan et acheter des brols inutiles, je vais m’emplir les poumons d’air frais et faire travailler mes mollets au cours d’une longue balade en compagnie d’un groupe pour qui le lien n’est pas un vain mot. Rien de tel pour la santé physique et mentale !

  • SN Brussels airlines et son shopping à 99 euros, on n’en veut pas ! Le 21 novembre 2011 à 20:05 , par Carduelis

    Moi, euh...

    Je profiterai d’aller rendre visite à toutes les femmes dont le mari profite de l’offre à 99 € pour faire du shopping... mais moi, ce sera gratuit. Quel acte à la portée de toutes les bourses !

  • Plutôt que de courir dans les aéroports, nous prendrons le temps de faire un énorme gâteau et de le partager avec nos voisins en papotant toute la journée !

  • Moi, j’aime pas prendre l’avion... et j’aime pas non plus faire du shopping... je préfère prendre ce temps-là pour faire des choses que j’aime... par exemple : pour faire des choses avec Jean-Pierre !

  • SN Brussels airlines et son shopping à 99 euros, on n’en veut pas ! Le 23 novembre 2011 à 08:26 , par Chloé Deltour

    A la place de prendre l’avion et faire du shopping je ne sais où, je vais prendre le temps de faire de la contre-pub à SN Brussels airlines !

  • SN Brussels airlines et son shopping à 99 euros, on n’en veut pas ! Le 23 novembre 2011 à 08:44 , par kiskidissa

    Les nonante neuf euros resteront dans ma poche
    Et je les partagerai avec mes proches.
    Je leur ferai des gateaux et des brioches ;
    On pourra même cuire vos avions à la broche
    Et s’en repaître plein la bidoche.
    On rira jusqu’à ce que la machoire décroche.
    Et tant mieux si votre bilan s’effiloche !

  • Au lieu de magasiner
    je m’en irai
    Emmagasiner
    De l’air frais
    Qui ne soit pas pollué
    (si ce n’est pas trop demandé !)
    Sur mon deux-roues non motorisé.
    Ou alors en l’air je m’envolerai
    Atteindre des sommets
    Qu’un avion ne pourra, jamais
    Au grand jamais,
    ne serait-ce que vouvoyer.
    Et tout ça, à la force du jarret
    Des mollets, des cuisses et des fessiers !
    Autre possibilité
    Il y a aussi la randonnée.
    Je pense que c’est vraiment bon "marcher"

  • On en veut pas,
    car on a bcp mieux que ca :-)

    Avec des amis
    On prend la direction du paradis
    Covoiturage et auberge espagnole
    Il y aura déjà de l’ambiance dans la bagnole
    Et puis ca y est c’est parti
    On va planter des trees
    C’est la sainte Catherine
    En avant pour un potager in

    Une vrai agroforesterie
    Avant la super party
    Une vrai impro en anarchie hamonieuse
    De quoi me laisser réveuse

    Ouais le shopping à 99euro seulement le transport
    On en veut pas, il y a trop de torts
    Alors que pour quelques petit sous
    On peut planter des beaux arbres dans plein trous
    contribuer aux changement d’une société
    En s’amusant et faisant amitié

    Pas de shopKILLING
    On en veut pas des bling blings

    On veut une autre société
    Alors facile, comme on dit à Ciney on la Fé !

    Il y a le choix,
    le paradis, l’abondance, la simplicité qui s’offre à toi
    Ou participer à la création de l’enfer qui nous empêche de respirer, de oser rêver, Tu choisi quoi ?

    Aller se ligoter les mains dans un monde basé sur les colonies et l’exploitation
    ou planter de tes mains des organismes vivant assurant la vie sur cette planète.

    Tes mains fleuries ou ensanglantées ?
    Libres en harmonie avec la nature ou attachées et conditionnées par un marché ?

    Plantation d’arbres à l’horizon !
    fais pas le con !
    Monte pas dans cet avion !

  • SN Brussels airlines et son shopping à 99 euros, on n’en veut pas ! Le 25 novembre 2011 à 15:16 , par Einar Kleve

    Au lieu d’avionner, de shopper,
    j’irai par les quatre chemins
    par vents et par marées
    déboulonner et désarçonner
    les créateurs de ravins
    les publiciglaires d’aujourd’hui
    et de demain
    et je leur proposerai un bon train-train
    quotidien
    lorsqu’un bon matin
    ils se réveilleront
    un peu moins catins !

  • plutot que de faire du shopping à 99 (e) avec Brussels Airlines ou qui que ce soit d’autre, je préfère passer ce temps à m’investir dans les activités associatives, afin de mettre en place des initiatives de transition (gacs, sel, monnaies alternatives, donneries, preteries, etc) et me réapproprier ma citoyenneté.

  • 99 E, mon oeil... Avec les habituels suppléments inévitables, les gogos qui se laissent avoir par les pubs mensongères des compagnies "low cost" en sont à plusieurs centaines d’Euros.
    Je préfère une belle ballade d’un journée en forêt, seul ou bien accompagné, pour regarder, regarder et regarder encore la beauté de la nature et emporter dans ma mémoire ce trésor gratuit et pour me le repasser en boucle pour m’endormir, paisible et heureux à ce souvenir.

  • SN Brussels airlines et son shopping à 99 euros, on n’en veut pas ! Le 7 décembre 2011 à 14:02 , par Jean Giono ;-)

    L’orgueil

    Une grande marque de l’orgueil et de la vanité de l’homme est l’admiration sans mélange qu’il a pour tout ce qu’il invente. Alors qu’il est très fier de son sens critique (jusqu’à s’en servir à contresens), dès qu’il s’agit d’une invention sortie de ce qu’il appelle sa science, il ne discute plus, il admire. Tout ce qu’il invente, il le regarde comme excellent. Or on peut facilement imaginer que ce n’est pas forcément vrai. Le moins qu’on puisse dire est que les inventions se font au hasard, il serait bien extraordinaire que ce hasard conduise toujours à de bonnes inventions. D’ailleurs, bonnes à quoi ou par rapport à quoi ? On dit que toutes ces inventions nous font progresser. La notion de progrès est une vue de l’esprit, elle n’existe pas dans la nature. Au surplus, que signifie progresser, si c’est progresser uniquement pour progresser, et s’il n’y a pas quelque part dans ce progrès un palier, un sommet, un arrêt (qui serait par exemple le bonheur), au-delà duquel il serait inutile — ou impossible — de progresser.

    Jamais le mot humanité n’a été aussi vide de sens qu’au moment même où nous proclamons notre intention d’unifier la planète. Nous sommes divisés en mille partis antagonistes, et le goût du racisme passe du blanc au noir avec une rapidité sans égale. C’est à qui sera la race ou le parti élu ; personne ne songe à fraterniser, mais à maîtriser, surtout celui qui se considérait esclave hier. A quoi servirait la liberté si ce n’est à dominer qui dominait ? Être égal ne suffit pas. D’où un jeu de saute-mouton et de « tu me domines, je te domine » dans lequel ce qu’on appelle bêtement l’ « humanité » se brise en mille gouttelettes d’acide. Cette parenthèse ouverte et fermée pour convenir qu’il est difficile de rejeter la « mauvaise invention » : elle serait immédiatement ramassée dans le fossé pour servir « à qui de droit ». Je pense par exemple à ce qu’on appelle communément la « bombe atomique ». Il est de fait que celui qui aurait repoussé son invention comme mauvaise aurait été le dindon de la farce. Mais je ne me mêle pas de la marche du monde, j’essaie simplement de voir s’il est impossible de nous débarrasser de notre orgueil.

    L’homme est minuscule. Il l’oublie. Le roseau pensant, c’est encore trop ; minuscule est le mot qui convient. Sa science est à sa mesure. Rien de plus naturel que les distances cosmiques, par exemple ; pour en avoir, non pas une idée, mais une simple représentation graphique, on est obligé d’aligner des centaines de zéros après l’unité. C’est que la notion de mesure, ou plus exactement d’échelle humaine ne convient pas. Nous avons, me direz-vous, des sciences qui nous délivrent de cette échelle. Dans quelle proportion ? C’est ce qu’on ne sait pas. On a envoyé un ballon de football dans la lune. On crie au miracle. On fait tourner des malheureux autour de la terre : on imagine aussitôt que nous allons sauter dans l’univers. Regardons de plus près.

    Si on en croit la nouvelle quand elle s’étale à la première page des journaux, entre une femme coupée en morceaux et une révolte de paysans, nous avons « bondi dans les étoiles », et à partir de ce bond on commence tout de suite à bondir d’étoile en étoile. Vu par les astronomes, c’est une autre paire de manches.

    « C’est minuscule, me disait l’un d’eux, reprenant mon mot de tout à l’heure. Je ne veux pas parler de la prouesse technique qui, étant donné ce que nous sommes en réalité, est remarquable. Je veux parler du résultat. Voilà l’échelle cosmique » : et il dessina deux fragments de courbes concentriques à très grand rayon, presque confondues tellement elles étaient près l’une de l’autre. Celle du dessous, me dit-il, était la surface de la terre, celle du dessus l’orbite du soi-disant « satellite artificiel ». Il avait à peine décollé.

    Vous me direz qu’il n’y a pas si longtemps les avions faisaient péniblement des sauts de quinze mètres de longueur à trois mètres de hauteur. Nous allons parler des avions, mais je veux finir de rapporter les paroles de l’astronome, pour répondre par avance à ceux qui se gavent de nourriture empoisonnée à base d’astronaute, d’astronavigation, de vitesse de la lumière, de Vénusiens, de Martiens, de soucoupes volantes et de voyages extra-galactiques.

    « Toutes choses égales, me dit l’homme de science, les performances actuelles, qui dispersent en fumée des milliards d’hôpitaux et de bibliothèques, sont semblables à celles que réussissent au trapèze volant les gymnasiarques très entraînés. Leurs numéros ne signifient pas que l’humanité va se mettre un jour prochain à voltiger à travers les cintres, ni surtout qu’elle en fera ses choux gras. »

    Venons à l’avion, puisqu’on ne va pas manquer de me rétorquer que là aussi nous avons commencé par faire du rase-mottes. Et où en sommes-nous ?

    Je me souviens de l’époque de ma jeunesse. « L’homme vole », les journaux étaient tous barrés de ces gros titres. Est-ce qu’on vole aujourd’hui ? Non. On traverse l’air, de plus en plus vite, de plus en plus à la façon d’un projectile, mais on ne vole pas. Si vous voulez savoir ce que c’est que voler, regardez la mouche. Non pas l’oiseau, mais la mouche ; non pas l’aigle, mais la mouche ou la piéride du chou (mais je préfère la mouche).

    J’en regardais trois ou quatre tout à l’heure. C’est un jour de grand mistral ; le vent est si brutal qu’il fait plier les cyprès. Mes trois ou quatre mouches ne s’en souciaient pas. Elles étaient en suspension dans l’air, immobiles malgré le vent contre lequel même elles remontaient quand elles en avaient envie. Pour mettre le cataclysme dans lequel ces mouches évoluaient à leur aise (je dis mieux : avec indifférence) à la proportion des forces emportant nos avions supersoniques, il faut imaginer des millions de cyclones conjugués, dans lesquels nous savons bien que notre avion sera broyé comme fétu de paille.

    Mais il y a mieux, la mouche vole en avant, en arrière, s’arrête en plein vol, repart, se pose sur une pointe d’épingle ou la tête en bas au plafond, tourne autour des objets, s’y pose, en décolle ; elle ne peut pas ne pas voler. Après l’avoir observée, pouvons-nous dire que nous volons ? Non, nous projetons à travers l’air des projectiles, soutenus ensuite dans leur trajectoire par des ailerons rigides, un mélange d’obus et de cerfs-volants. Ces projectiles doivent être, sous peine de mort, dirigés vers des points fixes soigneusement préparés, élaborés avec minutie, surveillés par des milliers d’intelligences en alerte tant que la trajectoire n’a pas abouti sur l’aire d’atterrissage. Cela ne peut même pas se comparer à l’oiseau ; quant à la mouche, nous pouvons toujours nous aligner ; je la regarde : elle est en train de danser allègrement dans l’intérieur d’un verre à boire.

    J’ai dit que le progrès n’existe pas dans la nature, par contre le bonheur existe. Nous avons inventé le premier qui nous oblige neuf fois sur dix à perdre le second pour des raisons d’orgueil. Il nous est facile de voir des animaux heureux : des chats, des chiens, des oiseaux, des moutons, des truites dans des eaux claires. Vous me direz qu’on tue les moutons, qu’on pêche les truites, qu’on tire les oiseaux, sans compter les loups, les brochets, les rapaces, mais là, c’est que nous sommes tous dans la main de Dieu, et nous ne manquons pas nous-mêmes de ministres de la guerre. Ce qu’il y a de certain, c’est que la plupart des animaux (et à la réflexion on peut même dire tous les animaux) sont très souvent heureux, d’un bonheur dont nous avons perdu le goût et la saveur. Croyez-vous que l’astronaute, ficelé dans sa combinaison, coiffé de son scaphandre, soit sur le chemin de ce bonheur-là ? Et s’il ne va pas vers le bonheur, vers quoi va-t-il ? A quoi servira de relever de plus en plus sa trajectoire au-dessus du niveau de la terre, d’atteindre la lune, Vénus, Mars, telle nébuleuse d’Andromède ou les fins fonds du monde, si c’est pour y aller à l’état de larve emberlificotée dans son cocon ? A voir encore ici la complexité des calculs, le trapèze volant des manœuvres, la sujétion à un ordre de choses sans rapport avec l’ordre naturel des choses, il semble bien que si nous allons jamais quelque part dans ce sens, ce ne sera qu’en perdant notre qualité d’homme, notre état : ce pourquoi nous avons été créés et mis au monde. On oublie que, comme pour le chien, le chat, le mouton, l’hirondelle ou la truite, notre état, c’est le bonheur. Nous avons même, semble-t-il, l’avantage de pouvoir accéder à un bonheur d’esprit destiné (à mon avis) à embellir notre bonheur animal. Tout le monde s’accorde à dire, avec orgueil précisément, que le XXe siècle est le siècle du progrès. Est-il pour cela le siècle du bonheur ? Non. Alors ?

    • Nous irons faire un tour à "Noël autrement", pour un moment de rencontre convivial, chaleureux, créatif et musical, 100 % gratuit. Au lieu de nous remplir d’objets en vidant notre porte-monnaie au mépris de la planète qui nous héberge et de tous ses habitants, nous cueillerons les sourires, les idées décos-récup’ et échangerons sans doute aussi l’un ou l’autre objet-cadeau afin que chacun puisse poursuivre sa longue vie en émerveillant d’autres petites mains ou grands yeux...

  • Pour commencer, je pense qu’il est temps de taxer le carburant des avions au même niveau que celui des voitures sinon plus. Les liens apportent tellement plus que les biens. J’ai initié un groupe de S V et un G A S, j’ai découvert des gens de ma rue, de ma région, leur convivialité m’ enrichi plus qu’une journée de shoping à 99 €. Le capitalisme prône des plaisirs solitaires et égoïstes.

  • Je vais rêver... parcourir le monde entier, rencontrer des personnes merveilleuses, refaire le monde, oser dire ce que je pense, voir les oeuvres que je voudrais créer, combattre au côté des révolutionnaires et des humanitaires, ...
    Et puis redescendre sur terre, la tête remplie d’idées à réaliser ou pas !

  • Pour 99 euros j’ai acheté 3 arbres et les ai planté dans un jardin qui à première vue n’en était pas un..et qui cet été prendra des couleurs avec les fleurs et légumes que je compte bien y planter...Si je m’écoutais je planterai des arbres partout c’est un peu fou mais c’est tellement beau cette vie...J’ai envie d’un autre monde depuis qques années déjà.....et grâce à votre mouvement je crois enfin que mon rêve n’est pas chimère...MERCI !!

    • Moi j’irais rendre visite aux hommes dont les femmes sont parties faire du shopping en avion pour 99 euros. On jouera... euh... à la dînette. Et puisqu’on apprend sur ce site que les animaux sont heureux et dans la main de Dieu, pourquoi se faire du souci pour le reste ?

  • Tout simplement, je vivrai le plus harmonieusement possible une journée de repos ordinaire - ou plutôt extraordinaire ! Petite balade avec celle qui fait faire clop-clop à mon petit coeur depuis 20 ans, temps passé (à jouer, discuter, bricoler...) avec nos deux enfants (13 et 16 ans), relaxation totale par l’ébénisterie (à la main, sans machine !), petite soirée pépère à bouquiner en sirotant une bière locale. Un peu de sérénité loin du bruit et de la fureur des aéroports et autres centre commerciaux.

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